Temps maussade, mauvaise visibilité : ceux qui travaillent actuellement à l?extérieur, sur les routes ou sur des chantiers, ont besoin de vêtements haute visibilité pour assurer leur protection au quotidien. « Un vêtement de protection optimal combine sécurité, confort et ergonomie », explique Philipp Mell, directeur de MEWA France.
Un salarié à l’aise dans sa tenue jaune ou orange ne sortira plus jamais sans. C’est pourquoi sa coupe doit être adaptée à l’activité physique, par exemple grâce à une ceinture de pantalon souple ou à des manches de vestes ergonomiques. Un équipement bien pensé avec des poches et des dragonnes pour les outils et autres ustensiles renforce également la praticité de la tenue.
Une certification ISO pour une sécurité optimale
Les vêtements haute visibilité doivent être certifiés ISO 20471. Pour les vêtements certifiés « Dynamic Reflect », MEWA propose différentes combinaisons de blousons, pantalons et salopettes en couleurs fluorescentes jaune ou orange avec différentes couleurs de contraste certifiées ISO 20471, classe 2. Si le blouson est porté en même temps qu’un pantalon ou une salopette, la tenue complète atteint la classe 3. Il existe également des sweats, polos ou T-shirts en couleurs unies fluorescentes jaune ou orange.
Un contrôle de fonctionnement régulier est indispensable Le tissu fluorescent et les bandes réfléchissantes perdent à la longue leur usage suite au port, à l’encrassement et aux sollicitations mécaniques. Leur contrôle régulier est donc littéralement vital. « Le lavage des vêtements haute visibilité doit nécessairement être pris en charge par un prestataire de services textiles. L’équipement est ainsi entretenu de façon professionnelle et les éventuels défauts sont détectés et supprimés », explique le directeur de MEWA France.
Pour cela, MEWA mise sur la collaboration entre l’homme et la machine grâce à un nouveau procédé de contrôle combiné : un système de caméras piloté par logiciel examine d’abord le vêtement et évalue sa fonctionnalité selon un algorithme informatique. Chaque vêtement est ensuite vérifié manuellement par un collaborateur. Si des bandes réfléchissantes ou le tissu fluorescent n’assurent plus leur fonction de protection nécessaire, ils sont réparés ou remplacés. Ainsi, les fonctions de protection et donc de signalisation sont conservées.
Source : batirama.com