Le choix de matériaux vertueux, ayant de faibles émissions de CO2, permet aux acteurs du bâtiment de penser le système constructif dans une démarche durable et de lutte contre le réchauffement climatique. Limiter l?impact environnemental tout au long du cycle de vie de la brique bio?bric participe à la construction de logements responsables.
De l’extraction d’une matière première renouvelable…
Il se dépose 2 fois plus de sédiments argileux en France que ce que la filière terre cuite n’en utilise*. Cette argile renouvelable, dont sont constituées les briques bio’bric, est extraite dans un rayon d’environ 5 km autour de nos 7 sites de production en France. Et la présence de sites de production sur tout le territoire national permet aussi de limiter les émissions de CO2 liées au transport.
La réhabilitation des gisements d’argile, après exploitation, se fait conformément aux engagements pris avec les acteurs locaux : restitution aux agriculteurs, réalisation de plans d’eau ou de zones humides, considérés comme des oasis à biodiversité. Les gisements restitués par Bouyer Leroux contribuent d’ailleurs davantage à la diversité de la faune et la flore qu’avant leur exploitation. **
À l’optimisation de la phase chantier avec :
• La limitation du nombre de palettes, en transportant 50 % de surface de mur en plus par palette, par rapport à une maçonnerie traditionnelle non isolante.
• L’utilisation de plastique divisée par 3 ; suite à l’équipement des sites de production en houssage par banderolage.
• Une quantité d’emballage divisée par 4 ; grâce au conditionnement de la colle prête à l’emploi fix’bric en poche souple de 600 ml (par rapport à un mortier joint mince).
En passant par une production à l’énergie décarbonée
La stratégie énergétique ambitieuse de Bouyer Leroux permettra, à horizon 2027, de réduire encore de 20 % les émissions de CO2 par l’utilisation de 90 % d’énergie décarbonée *** dans le mix-énergétique & par la compensation de 100 % des besoins électriques des sites par de l’électricité verte (panneaux photovoltaïques sur les toitures ou sur d’anciens gisements d’argile).
L’argile est une matière première géosourcée, d’origine 100 % minérale, qui confère à la brique en terre cuite ses propriétés naturellement isolantes. Les moisissures ne s’y développent pas et le matériau est inaltérable dans le temps pour une pérennité de l’ouvrage sans porter atteinte à la santé des habitants.
Sa forte inertie et performance thermique permettent même de limiter le recours au chauffage et à la climatisation, pour ainsi économiser les émissions de CO2 liées à cette énergie non consommée.
Bouyer Leroux, avec ses solutions constructives bio‘bric, s’engage pour un habitat sain, durable et économe en CO2, jusqu’à la fin de vie du bâtiment.
* Étude indépendante menée par l’école des Mines Paris Tech et le CTMNC?.
** Suivis biologiques 2020 des argilières Bouyer Leroux dans le cadre des arrêtés préfectoraux, réalisés par le CPIE Loire Anjou.
*** La part d’énergie thermique à base d’énergie décarbonée (biomasse, biogaz, syngaz) en 2021 est à hauteur de 40 % dans le processus de fabrication des briques de mur.
Source : batirama.com