L’accompagnement par un professionnel reste fortement recommandé si vous choisissez un sol en parquet. En effet, sa présence sera bénéfique pour évoquer la question de l’essence de bois, de la finition souhaitée, mais également du type de pose.
Quels types de pose choisir pour un sol en parquet ?
La pose de parquet peut s’effectuer de différentes manières, car il existe plusieurs techniques. Donc, il convient de choisir la méthode la plus appropriée par rapport à vos objectifs. En premier lieu, interrogez-vous sur la nature du support allant accueillir votre futur revêtement au sol. De plus, vous pourriez avoir certains prérequis par rapport à la présence d’un système de rafraîchissement ou d’un chauffage au sol. N’oubliez pas non plus les contraintes liées à une pièce humide.
La pose clouée d’un parquet
Ce type de pose reste fortement recommandé lorsque vous allez travailler sur un parquet massif disposant d’une épaisseur d’au moins 20 mm. Pour une bonne mise en œuvre, il est absolument primordial d’être vigilant afin d’assurer une qualité de pose. La pose clouée reste plébiscitée sur des lambourdes et sur des poutres. Généralement, vous allez vous orienter vers ce choix pour l’installation d’un parquet à l’étage sur des lambourdes déjà existantes ou sur des solives. Ce qui est généralement le cas sur les habitations anciennes.
La pose collée d’un parquet
Cette fois-ci, la pose concerne les parquets contrecollés et massifs. Initialement, un travail préparatoire reste nécessaire en utilisant un panneau aggloméré, une chape de ciment ou une dalle de béton. Lorsque votre support est totalement sec, solide, propre et lisse, vous allez pouvoir effectuer la pose de votre parquet collé.
Sa mise en œuvre nécessite un certain niveau de connaissances avec impérativement l’usage d’une sous-couche isolante lorsque vous utilisez un système rafraîchissant ou un système chauffant au sol, ainsi que pour les pièces humides.
La pose flottante d’un parquet
Incontestablement, il s’agit de la méthode de pose la plus répandue aussi bien en rénovation que sur une construction neuve. Si la technique est aussi populaire, c’est parce qu’elle se veut rapide et simple. Cette fois-ci, il est inutile de fixer le parquet sur le sol, vous aurez une stabilité grâce à la propre masse de votre revêtement. L’absence de fixation n’est pas synonyme d’instabilité, bien au contraire, car l’assemblage s’effectue par un clic.
Concernant le support, il n’y a aucune contre-indication d’effectuer une pose sur un ancien revêtement PVC, sur une chape ou sur un ancien parquet. Mais n’oubliez pas d’ajouter une sous-couche isolante afin d’obtenir de bien meilleures performances acoustiques et phoniques.
Comment faire le bon choix ?
Dans le choix de la pose d’un parquet, il est essentiel de prendre en considération le type de support. Si vous avez du mal à vous décider, ne renoncez pas à votre projet, mais faites-vous accompagner par un professionnel. Celui-ci vous fournira tous les conseils nécessaires et il pourra bien évidemment exécuter l’installation de votre futur parquet.
Source : batirama.com