Comment choisir un isolant pour sa maison ?

Alors que la France se trouve en pleine transition énergétique, le marché des isolants connaît un réel essor. La croissance annuelle estimée de 6,5 % sur la période de 2022 à 2030 est assortie d'une multitude d'isolants disponibles sur le marché.

Les nouvelles technologies sous-tendent cette croissance, avec des matériaux toujours plus versatiles et performants. Dans ces conditions, la sélection du matériau adapté peut s'avérer plus complexe qu'il n'y paraît. Ce guide détaillé vous éclaire au sujet du choix d'un isolant pour votre domicile.

 

La réglementation en matière d'isolation

La réglementation environnementale RE 2020 repose sur le principe de la sobriété énergétique. Les matériaux isolants sélectionnés doivent participer à la diminution de l'empreinte carbone du bâtiment et tenir compte du confort intérieur en période estivale. En termes de rénovation, sachez que lorsque vous entreprenez des travaux d'ampleur, la prise en charge de l'isolation thermique est une obligation. La construction d'une extension, le ravalement des parois extérieures ou la réfection de votre toiture entrent dans ce cadre.

 

Laines minérales, matériaux biosourcés ou polystyrène : quelles sont les différences ?

Il existe trois catégories d'isolants :

 

♦ minéraux : laine de verre, laine de roche ou verre cellulaire ;

♦ biosourcés : fibre de bois, chanvre, ouate de cellulose, laine de mouton, textiles ;

♦ issus de la pétrochimie, comme le polystyrène expansé (PSE).

 

Ces isolants présentent des différences de poids, d'utilisation, de performances et d'impact environnemental. Voici un guide comparatif afin de vous accompagner dans votre projet de construction ou de rénovation.

 

Applications

Les isolants les plus employés dans le bâtiment sont la laine de roche et la laine de verre. Disponibles sous forme de flocons, en panneaux semi-rigides ou rigides, ils offrent une protection optimale contre les variations de température et les nuisances sonores.

C'est justement ce que nécessitent les parois intérieures de votre demeure. La laine de roche, le chanvre, la fibre de bois et la laine de verre sous forme de panneaux semi-rigides à rigides se prêtent à l'isolation des murs intérieurs, toitures et combles aménagés.

Avant d'isoler des combles perdus, assurez-vous du bon état du plancher et de sa portance. Privilégiez des isolants légers comme la laine de verre, la laine de roche ou l'ouate de cellulose. Soufflées ou déroulées, celles-ci constituent une solution thermique et acoustique de premier choix pour la praticité de leur installation.

L'isolation de la toiture et des combles perdus se fait souvent à l'aide de matériaux en vrac. Facile à appliquer, la méthode du soufflage projette une couche de flocons d'isolants minéraux ou biosourcés. La ouate de cellulose peut aussi être injectée dans les parois creuses.

Vos plafonds et cloisons peuvent être isolés par des panneaux de laine de verre, de roche, de la ouate de cellulose ou autre isolant biosourcé. Les sols et planchers requièrent un isolant rigide et résistant à la compression comme la laine de roche, le polystyrène expansé ou le polyuréthane.

 

Performances

Les isolants minéraux et biosourcés présentent habituellement un bon confort thermique en été. Ainsi, la laine de verre à haute densité, la laine de roche, la fibre de bois, la ouate de cellulose, le chanvre et le liège expansé équilibrent parfaitement la température intérieure, hiver comme été. Les isolants biosourcés ainsi que la laine de roche, le polystyrène expansé et le polyuréthane résistent particulièrement bien aux moisissures. La laine de verre sèche rapidement après une exposition à l'humidité et recouvre ses propriétés isolantes une fois séchée.

Marqué par le symbole lambda, le coefficient de résistance thermique peut atteindre 0,060 Watts par mètre Kelvin (W/m.K) pour le verre cellulaire et la perlite expansée, 0,050 W/m.K pour la paille, 0,042 et 0,044 W/m.K pour la laine de verre et la laine de roche.

 

Coût

Obtenue à partir de verre recyclé, la laine de verre représente la solution d'isolation la moins chère et souvent la plus appropriée. Légèrement plus élevé, le prix de la laine de roche reste cependant en-deçà de celui des isolants biosourcés et d'origine pétrochimique. Tandis que la durée de vie de ces derniers dépasse celle des autres isolants, la laine de verre et les isolants naturels offrent tout de même une durée de vie de trente à cinquante ans.

 

Impact environnemental

Si les isolants issus de la pétrochimie offrent une conductivité thermique équivalente à celle de la laine de verre, de roche, du chanvre et du lin, ils sont peu écologiques. Seule leur contribution à la réduction de votre consommation énergétique est louable. La laine de verre est recyclable à 100 % et contient un minimum de 40 % de verre recyclé à partir de déchets ménagers ou industriels. En outre, sa haute compressibilité signifie une réduction de l'empreinte carbone engendrée par son transport. Des fabricants comme Isover, leader mondial des solutions d'isolation durables, ont développé des technologies capables de diminuer son volume de plus de 80 %. Naturellement incombustible, la laine de verre ne prend pas feu en cas d'incendie. Son amélioration de la performance énergétique des bâtis vient enfler le nombre de ses vertus écologiques. La laine de roche est aussi recyclable et provient de matériaux naturels.

Naturellement, les isolants biosourcés ont un faible impact environnemental. Renouvelables et recyclables, ils sont le fruit d'une production écologique où l'usage de traitements chimiques reste faible. Des matériaux comme le textile recyclé ou la fibre de bois font d'excellents isolants acoustiques et thermiques, et ce dans le respect de l'environnement. Le seul point à déplorer est leur caractère inflammable. Ils doivent donc faire l'objet d'un traitement ignifuge. Souvent classés de B à D pour leur résistance au feu selon le système européen des Euroclasses, ils figurent en queue de peloton avec les isolants d'origine pétrochimique, souvent classés E. En contraste, la laine de roche et la laine de verre reçoivent la meilleure note, soit A1.

 

Comment choisir parmi les isolants les plus fréquemment utilisés ?

Si la laine de verre remporte la première place au palmarès des isolants, d'autres matériaux lui font concurrence. La question se pose souvent entre laine de roche ou laine de verre. Laquelle faut-il choisir ? Le polystyrène, également plébiscité, a-t-il encore de beaux jours devant lui ? Voici quelques pistes.

 

Laine de roche ou laine de verre ?

La laine de roche et la laine de verre ont toutes deux une conductivité thermique de 0,040 W/m.K mais la laine de roche offre un meilleur déphasage thermique, avec six heures pour une couche-type de 20 cm d'épaisseur contre quatre seulement pour la laine de verre. La laine de roche et la laine de verre offrent toutes deux un cycle de vie exceptionnel à l'échelle de celui du bâtiment, puisqu'il atteint entre trois à cinq décennies. Le tarif compétitif de la laine de verre lui octroie une place de choix parmi les isolants à haute performance. La laine de roche la suit de près. Concernant son utilisation, cette dernière écope également de la seconde place face à la laine de verre en raison de ses fibres plus courtes, en faisant un matériau moins flexible.

En outre, la laine de verre nouvelle génération, comme en fabrique Isover avec la marque Lanaé, se démarque par son excellence en termes de :

 

♦  durée de vie, car elle dure aussi longtemps que le bâtiment dans lequel elle évolue,

♦  isolation, avec un cloisonnement thermique et phonique efficace dans la durée,

♦  valorisation des déchets, grâce au partenariat entre Isover et l'éco-organisme Valobat,

♦  éco-responsabilité, car Lanaé est conçue et fabriquée dans l'Hexagone avec un minimum de 50 % de verre recyclé et utilise un liant biosourcé.

 

De plus, cette laine de verre assure une meilleure qualité de l'air intérieur. Sa classe A+ atteste de ses vertus sanitaires.

La résistance au feu de la laine de verre et de la laine de roche est inégalée. Leur utilisation dans les combles est cependant parfois négligée en faveur de matériaux résistants aux rongeurs, ce qui n'est le cas ni de la laine de verre ni de la laine de roche. Les propriétaires se tournent aussi vers le polystyrène, qui est un excellent isolant thermique et hygrophobe.

 

Quels sont les isolants concurrents du polystyrène ?

S'il offre une résistance exemplaire aux variations de température et à l'humidité, le polystyrène pèche par sa performance acoustique. Les considérations écologiques poussent aussi nombre de ménages à se queAlors que la France se trouve en pleine transition énergétique, le marché des isolants connaît un réel essor. La croissance annuelle estimée à 6,5 % sur la période de 2022 à 2030 est assortie d’une multitude d’isolants disponibles sur le marché. Les nouvelles technologies sous-tendent cette croissance, avec des matériaux toujours plus versatiles et performants. Dans ces conditions, la sélection du matériau adapté peut s’avérer plus complexe qu’il n’y paraît. Ce guide détaillé vous éclaire au sujet du choix d’un isolant pour votre domicile.

 

La réglementation en matière d’isolation

La réglementation environnementale RE 2020 repose sur le principe de la sobriété énergétique. En construction neuve, les matériaux isolants sélectionnés doivent participer à la diminution de l’empreinte carbone du bâtiment et tenir compte du confort intérieur en période estivale, mais aussi durant les rudes hivers. En rénovation, sachez que lorsque vous entreprenez des travaux d’ampleur, la prise en charge de l’isolation thermique est une obligation. La construction d’une extension, le ravalement des parois extérieures ou la réfection de votre toiture entrent dans ce cadre.

 

Laines minérales, matériaux biosourcés ou polystyrène : quelles sont les différences ?

Il existe trois catégories d’isolants :

 

♦  minéraux - laine de verre, laine de roche ou verre cellulaire ;

♦  biosourcés - fibre de bois, chanvre, ouate de cellulose, laine de mouton, textile ;

♦  issus de la pétrochimie, comme le polystyrène expansé (PSE).

 

Ces isolants présentent des différences de poids, d’utilisation, de performances et d’impact environnemental. Voici un guide comparatif afin de vous accompagner dans votre projet de construction ou de rénovation.

 

Applications

Les isolants les plus employés dans le bâtiment sont la laine de roche et la laine de verre. Disponibles sous forme de flocons, ou bien de panneaux semi-rigides ou rigides, ils offrent une protection optimale contre les variations de température et les nuisances sonores.

C’est justement ce que nécessitent les parois intérieures de votre demeure. La laine de roche, le chanvre, la fibre de bois, le textile recyclé, et bien sûr, la laine de verre sous forme de panneaux semi-rigides à rigides, se prêtent à l’isolation des murs intérieurs, toitures et combles aménagés.

Avant d’isoler des combles perdus, assurez-vous du bon état du plancher et de sa portance. Privilégiez des isolants légers comme la laine de verre (en rouleaux ou en vrac), la laine de roche ou la ouate de cellulose. Soufflées ou déroulées, celles-ci constituent des solutions thermiques et acoustiques de premier choix pour la praticité de leur installation.

L’isolation de la toiture et des combles perdus se fait souvent à l’aide de matériaux en vrac. Facile à appliquer, les flocons d’isolants minéraux ou biosourcés font appel à la méthode du soufflage, qui en projette une couche sur la surface. La ouate de cellulose peut aussi être injectée dans les parois creuses.

Vos plafonds et cloisons peuvent être isolés par des panneaux de laine de verre, de roche, de la ouate de cellulose ou un autre isolant biosourcé. Les sols et planchers requièrent quant à eux un isolant rigide et résistant à la compression, comme la laine de roche, le polystyrène expansé ou le polyuréthane.

 

Performances

Les isolants minéraux et biosourcés présentent habituellement un bon confort thermique en été. Ainsi, la laine de verre, la laine de roche, la fibre de bois, la ouate de cellulose, le chanvre et le liège expansé équilibrent parfaitement la température intérieure, hiver comme été. Les isolants biosourcés, ainsi que la laine de roche, le polystyrène expansé et le polyuréthane résistent particulièrement bien aux moisissures. La laine de verre sèche rapidement après une exposition à l’humidité et recouvre ensuite ses propriétés isolantes.

Marqué par le symbole lambda, le coefficient de résistance thermique est également déterminant. Ainsi, plus la conductivité thermique est faible, plus l’isolant s’avère performant, mais cela dépend également de l’épaisseur.

 

Coût

Obtenue principalement à partir de verre recyclé, la laine de verre représente la solution d’isolation la moins chère et souvent la plus appropriée. Légèrement plus élevé, le prix de la laine de roche reste cependant en deçà de celui des isolants biosourcés et d’origine pétrochimique. Tandis que la durée de vie de ces derniers dépasse celle des autres isolants, la laine de verre et les isolants naturels offrent tout de même une durée de vie généralement identique à celle du bâtiment.

 

Impact environnemental

Si les isolants issus de la pétrochimie offrent une conductivité thermique équivalente à celle de la laine de verre, de roche, du chanvre et du lin, ils sont peu écologiques. Seule leur contribution à la réduction de votre consommation énergétique est louable.

La laine de verre est recyclable à 100 % et contient un minimum de 40 % de verre recyclé, à partir de déchets ménagers ou industriels. En outre, sa haute compressibilité signifie une réduction de l’empreinte carbone engendrée par son transport. Des fabricants comme Isover, leader mondial des solutions d’isolation durables, ont développé des technologies capables de diminuer son volume de plus de 80 %. Naturellement incombustible, la laine de verre ne prend pas feu en cas d’incendie. Son amélioration de la performance énergétique des bâtis vient enfler le nombre de ses vertus écologiques. La laine de roche est aussi recyclable et provient de matériaux naturels.

Naturellement, les isolants biosourcés, renouvelables et recyclables, sont le fruit d’une production écologique où l’usage de traitements chimiques reste faible. Toutefois, leur fabrication peut nécessiter plus d’énergie que pour les isolants comme la laine de verre, par exemple. Quoi qu’il en soit, des matériaux comme le textile recyclé ou la fibre de bois font d’excellents isolants acoustiques et thermiques (comme les laines minérales), et ce dans le respect de l’environnement. Le seul point à déplorer est leur caractère inflammable. Ils doivent donc faire l’objet d’un traitement ignifuge. Souvent classés de B à D pour leur résistance au feu selon le système européen des Euroclasses, ils figurent en queue de peloton avec les isolants d’origine pétrochimique, souvent classés E. En contraste, la laine de roche et la laine de verre reçoivent la meilleure note, soit A1.

 

Comment choisir parmi les isolants les plus fréquemment utilisés ?

Si la laine de verre remporte la première place au palmarès des isolants, d’autres matériaux lui font concurrence. La question se pose souvent entre laine de roche ou laine de verre. Laquelle faut-il choisir ? Le polystyrène, également plébiscité, a-t-il encore de beaux jours devant lui ? Voici quelques pistes.

 

Laine de roche ou laine de verre ?

La laine de roche offre un meilleur déphasage thermique, avec six heures pour une couche type de 20 cm d’épaisseur, contre quatre seulement pour la laine de verre. La laine de roche et la laine de verre offrent toutes deux un cycle de vie exceptionnel à l’échelle de celui du bâtiment, puisqu’il atteint trois à cinq décennies. Le tarif compétitif de la laine de verre lui octroie une place de choix parmi les isolants à haute performance. La laine de roche la suit de près. Il faut ensuite considérer les applications : elles ne sont pas les mêmes pour les deux isolants. Ainsi, si vous avez besoin d’une protection au feu et d’un isolant rigide, la laine de roche apparaît comme idéale. Si vous recherchez davantage la légèreté et la facilité de manipulation, la laine de verre peut être préférée.

En outre, la laine de verre nouvelle génération, comme en fabrique Isover avec la gamme Lanaé, se démarque par son excellence en matière de :

 

♦  durée de vie, car elle dure aussi longtemps que le bâtiment dans lequel elle est mise en œuvre ;

♦  isolation, avec un cloisonnement thermique et phonique efficace dans la durée ;

♦  valorisation des déchets, grâce au partenariat entre Isover et l’éco-organisme Valobat ;

♦  écoresponsabilité, car Lanaé est conçue et fabriquée dans l’Hexagone avec un minimum de 50 % de verre recyclé et utilise un liant biosourcé.

 

De plus, cette laine de verre assure une meilleure qualité de l’air intérieur. Sa classe A+ atteste de ses vertus sanitaires.

La résistance au feu de la laine de verre et de la laine de roche est inégalée. Leur utilisation dans les combles est cependant parfois négligée en faveur de matériaux résistants aux rongeurs, ce qui n’est le cas ni de la laine de verre ni de la laine de roche. Les propriétaires se tournent aussi vers le polystyrène, qui est un excellent isolant thermique et hygrophobe.

 

Quels sont les isolants concurrents du polystyrène ?

S’il offre une résistance exemplaire aux variations de température et à l’humidité, le polystyrène pèche par sa performance acoustique. Les considérations écologiques poussent aussi nombre de ménages à se questionner sur les alternatives à cet isolant très apprécié des Français. Les isolants biosourcés correspondent à la tendance, bien que leur production soit énergivore. On peut citer les matériaux d’origine textile, comme Isocoton d’Isover, et ceux d’origine végétale, telle la fibre de bois. Ils se prêtent à toute utilisation, sauf pour les sols et planchers dans le cas des isolants en textiles recyclés. Leur fort pouvoir isolant (de 0,036 à 0,049 W/m.K pour la fibre de bois et 0,037 à 0,051 W/m.K pour les textiles recyclés) dépasse celui du polystyrène, situé entre 0,029 et 0,035 W/m.K.

 

Qu’est-ce que la certification ACERMI ?

L’Association pour la certification des matériaux isolants (ACERMI) délivre un certificat attestant de la qualité et des performances techniques des différents isolants. Parmi celles-ci, on retrouve les spécificités thermiques et acoustiques, mais aussi l’étanchéité du matériau, sa résistance à la compression, sa souplesse et son altérabilité. Les fabricants s’engagent à effectuer des contrôles qualité continus et à pratiquer une veille des performances de leurs produits. Les audits bisannuels qui font suite à la certification assurent un niveau de qualité élevé et fiable. Tous les isolants fabriqués par Isover bénéficient de l’ACERMI.stionner sur les alternatives à cet isolant très apprécié des Français. Les isolants biosourcés correspondent à la tendance. On peut citer les matériaux d'origine textile, comme Isocoton d'Isover, et ceux d'origine végétale, telle la fibre de bois. Ils se prêtent à toute utilisation, sauf pour les sols et planchers dans le cas des isolants en textiles recyclés. Leur fort pouvoir isolant (de 0,036 à 0,049 W/m.K pour la fibre de bois et 0,037 à 0,051 W/m.K pour les textiles recyclés) dépasse celui du polystyrène, situé entre 0,029 et 0,035 W/m.K. La production des isolants biosourcés est peu énergivore.

 

Qu'est-ce que la certification ACERMI ?

L'Association pour la certification des matériaux isolants (ACERMI) délivre un certificat attestant de la qualité et des performances techniques des différents isolants. Parmi celles-ci, on retrouve les spécificités thermiques et acoustiques, mais aussi l'étanchéité du matériau, sa résitance à la compression, sa souplesse et son altérabilité. Les fabricants s'engagent à effectuer des contrôles qualité continus et à pratiquer une veille des performances de leurs produits. Les audits biannuels qui font suite à la certification assurent un niveau de qualité élevé et fiable. Le fabricant Isover détient la certification ACERMI pour l'ensemble de ses isolants.

 

Source : batirama.com

©Pixabay

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