L’argile, dont sont constituées les briques bio’bric, est extraite dans un rayon d’environ 5 km autour de nos 7 sites de production en France. En disposant de gisements, dont le stock représente plus de 20 ans de production, l’approvisionnement en matière première est maîtrisé pour garantir les livraisons au plus proche des chantiers, pour limiter les émissions de CO2 liées au transport.
La stratégie énergétique ambitieuse de Bouyer Leroux (marque bio’bric) permettra, à horizon 2027, de réduire encore de 20 % les émissions de CO2 par l’utilisation de 90 % d’énergie décarbonée (biomasse, biogaz, syngaz) dans le mix-énergétique & par la compensation de 100 % des besoins électriques des sites par de l’électricité verte (panneaux photovoltaïques sur les toitures ou sur d’anciens gisements d’argile).
La brique est un matériau géosourcé d’origine 100 % minérale, fabriquée à partir d’argile. En plus d’être un matériau naturellement isolant, ses propriétés sont inaltérables dans le temps pour une efficacité tout au long du cycle de vie du bâtiment.
Sa forte inertie et performance thermique permettent même de limiter le recours au chauffage et à la climatisation, pour ainsi économiser les émissions de CO2 liées à cette énergie non consommée. La régulation de la température en été comme en hiver assure un confort optimal pour les occupants.
• Le moins de palettes possibles, en transportant 50 % de surface de mur en plus par palette, par rapport à une maçonnerie traditionnelle non isolante.
• Diviser par 3 l’utilisation de plastique : équipement des sites de production en houssage par banderolage.
• Conditionner la colle prête à l’emploi fix’bric en poche souple de 600 ml permet de diviser par 4 les quantités d’emballage, environ, par rapport à un mortier joint mince.
« Exemple pour une maison de 140 m² »
Une étude indépendante menée par l’école des Mines Paris Tech et le CTMNC démontre qu’il se dépose 2 fois plus de sédiments argileux en France que ce que la filière terre cuite n’en utilise. L’argile est donc une ressource renouvelable.
La réhabilitation des carrières, après exploitation, se fait conformément aux engagements pris avec les acteurs locaux : restitution aux agriculteurs, réalisation de plans d’eau ou de zones humides, considérés comme des oasis à biodiversité.