Ce procédé permet de travailler avec une tranche de matière première fine comme une peau. Le panneau sandwich obtenu devient trois fois plus léger et plus résistant qu’un panneau monolithique en béton.
La combinaison d’une âme nidaplast et d’une peau de béton ou d’une fine tranche de pierre permet de travailler et de déplacer plus aisément des matériaux habituellement très lourds.
Autre atout : celui du développement durable. Les panneaux alvéolaires de nidaplast présentent un bilan énergétique avantageux à la fabrication, lors de leur transport, de leur mise en œuvre ainsi que lors de leur utilisation, du fait de la réduction des quantités de matières premières requises.