Si vous mettez vos produits en œuvre, sur des fonds insuffisamment secs, en cas de problèmes ultérieurs, votre responsabilité sera totalement engagée… Et cela, même si l’ordre est donné, par le Maître d’ouvrage, ou par le Maître d’œuvre, de commencer les travaux. Lorsque l’on sait que plus de deux sinistres sur trois dans le domaine de la finition, ont pour origine un excès d’humidité des subjectiles, on ne peut qu’encourager l’applicateur à ne pas sous estimer l’importance d’une bonne reconnaissance des fonds avant exécution des prestations. Cette reconnaissance des fonds est décrite dans le chapitre V des DTU 59.1 (Peintures) et 59.4 (revêtements muraux/papiers peints) et dans le chapitre III du DTU 59.3 (Peintures de sol). Elle consacre une part essentielle à la vérification du taux d’humidité des matériaux qui vont recevoir les revêtements. Ce contrôle n’est pas du genre “ tout ou rien ”. Des valeurs maximales (en % massiques) sont annoncées, en fonction des types de supports, valeurs à partir desquelles, on ne peut commencer les applications.
Une bonne reconnaissance des fonds avant exécution des prestations est primordiale. Elle est décrite dans chapitre V des DTU 59.1 (peintures) et 59.4 (revêtements muraux/papiers peints) et dans le chapitre III du DTU 59.3 (peintures de sol).