"Le CITE (Crédit d'impôt pour la transition énergétique) a contribué à relancer le marché de la fenêtre tout en créant et sauvegardant de nombreux emplois", ont indiqué, dans un communiqué commun six organisations patronales de fabricants et d'installateurs de fenêtres.
Il s'agit de la branche Métallerie de la Fédération française du bâtiment, la Fédération française des professionnels du verre, l'Union des métiers du bois, la SNFA (menuiseries extérieures en profilés aluminium), le Syndicat national de la fermeture et de la protection solaire et l'Union des fabricants de menuiseries extérieures.
"Avec un emploi direct créé ou sauvegardé pour 110 fenêtres fabriquées et installées en France", ces organisations professionnelles estiment à plus de 8.000 les emplois ainsi créés ou sauvegardés en 2015.
Ces organisations professionnelles ont donc demandé "la pérennisation de ce dispositif afin de garantir aux entreprises stabilité et visibilité à long terme". Et ce, pour permettre à cette "filière d'excellence française, constituée de très nombreuses PME industrielles", de "poursuivre une politique de recrutement et d'investissements ambitieuse".
Par ailleurs, l'obligation depuis le 1er janvier 2015, pour les particuliers souhaitant réaliser des travaux, de faire appel à des professionnels du bâtiment qualifiés RGE pour bénéficier du CITE, a mis en place "une démarche qualité globale, engageante pour le professionnel et rassurante pour le client", selon ces organisations.
"Simple, applicable à tous les remplacements de fenêtres, portes et volets avec son taux unique porté à 30%, le CITE ajouté à la TVA rénovation énergétique à 5,5%, a créé un contexte favorable au déclenchement de nombreux travaux", disent-ils.
Or au début 2015, "le marché de la fenêtre était dans une situation extrêmement difficile" en raison de la crise de la construction neuve et de la faible d'efficacité du Crédit d'impôt développement durable (CIDD) due à des taux peu incitatifs et à l'obligation de réaliser un bouquet de travaux de rénovation énergétique, ont rappelé ces organisations.
A partir de mi-2015, le CITE a permis d'enrayer cette tendance et de relancer l'activité du marché de la fenêtre, où la rénovation génère plus de 70% de l'activité.
Bien pour la TVA à 5.5% et le crédit impôt. Par contre la RGE risible le jour ou un cadre qui fait un stage entraînera les ouvriers à être plus compétents sur le chantier, suffit de faire le tour des chantiers menuiserie posé en rénovation sur ancien dormant pourri, mousse polyuréthane à gogo alors que pas acceptée par les DTU (1er consommateur de mousse PU les menuiseries poseur!) les consommateurs ont le crédit d'impôt pour payer le coût de La RGE triste pays ou même les industriels en sont rendus à pleurer des aides, bientôt tous au resto du cœur.
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Tout à fait d'accord avec ADM, à part pour la mousse polyuréthane, elle est interdite pour la fixation c'est vrai. Mais en complément d'isolation, la mousse nouvelle génération est très utile si l'on met compris-bande plus joint acrylique, cheville plus vis tout les 60 CM. Les entreprises RGE ne sont en rien garantes d'un travail dans les règles de l'art. Le RGE est inutile, couteux et pénalise les toutes petites entreprises qui souvent font du très bon travail.