Selon une étude du Ministère de l'écologie et du logement publiée le 18 février 2011, 10% des terrains se sont même vendus à un prix supérieur à 203 euros par m2, atteignant même 239 euros dans l'aire urbaine de Paris et 176 euros dans celle de Marseille.
Il n'est plus que d'environ 106 euros dans celle de Toulouse ou Bordeaux, et ce chiffre tombe à 79 euros dans l'aire urbaine de Clermont-Ferrand et à 39 euros dans celle de Nevers. Par contre les 10% les moins chers se sont vendus à un prix inférieur à 22 euros par m2.
Les auteurs de l'étude expliquent ces importantes différences par le vieil adage des agents immobiliers anglo-saxons qui, quand on leur demande ce qui fait le prix des biens immobiliers, répondent "l'emplacement, l'emplacement, l'emplacement". Plus sérieusement, trois groupes de facteurs sont mis en avant: la taille de l'aire urbaine et son dynamisme démographique, l'accessibilité des terrains au sein de l'aire urbaine et enfin leurs caractéristiques intrinsèques.
Source : batirama.com / AFP