Sur ces trois mois, le groupe basé à Saint-Jean-de-Soudain (Isère) a facturé pour 80,6 millions d'euros de prestations, contre 37,2 millions d'euros un an auparavant.
SergeFerrari explique ce dynamisme par la reprise de ses marchés, par un effet de base favorable (ses ventes avaient été affectées l'an dernier par le confinement), par l'impact de ses récentes acquisitions et par les hausses de prix qu'il est parvenu à faire passer auprès de ses clients.
Hors effets de périmètre, ses ventes progressent même (+6%) par rapport au deuxième trimestre 2019, avant donc que l'impact de la crise sanitaire ne se fasse sentir. Sur le semestre, le chiffre d'affaires de SergeFerrari s'établit à 144,7 millions, en hausse de 82% (+ 43% à données constantes).
Cet "excellent démarrage" rend le groupe confiant pour le reste de l'exercice "malgré le retour actuel des incertitudes sanitaires et un effet de base moins favorable". Il se dit également "en phase" avec son objectif de moyen terme d'arriver à un chiffre d'affaires de 300 millions d'euros, "accompagné d'une progression des résultats supérieure à celle des ventes".