Kaufman & Broad: la baisse des réservations se poursuit
Kaufman & Broad, l'un des principaux promoteurs immobiliers français, a vu son résultat net reculer de 24% à 6,3 millions d'euros au premier trimestre 2014.
Les résultats du premier trimestre "traduisent l'effet de la baisse des réservations dans l'activité logement sur les deux dernières années", a commenté le PDG du groupe, Nordine Hachemi.
"Comme annoncé fin janvier, cette tendance devrait se traduire sur l'ensemble de l'exercice 2014 par un chiffre d'affaires logement sensiblement comparable à celui de 2013 et une marge brute logement en léger retrait", a-t-il ajouté.
Le chiffre d'affaires est resté quasi stable sur un an, à 205,2 millions d'euros. Celui de l'activité logement (96,7 % du chiffre d'affaires global) s'élève à 198,4 millions d'euros et celui de l'immobilier d'entreprise à 5,3 millions d'euros.
Accroissement du portefeuille foncier
Le résultat opérationnel courant a reculé de 14,7% à 11,3 millions d'euros, contre 13,2 millions d'euros au premier trimestre 2013, et le taux de marge opérationnelle courante est ressorti à 5,5%.
Le groupe va poursuivre sa stratégie d'accroissement de son portefeuille foncier et de son offre commerciale, a indiqué Nordine Hachemi. "Cette stratégie, mise en place dès le second semestre 2013, sera activement poursuivie, alimentée notamment par une augmentation de l'offre commerciale d'environ 15% en 2014", a-t-il expliqué.
Il a également souligné que "l'évolution des réservations de logements restera dépendante des délais d'instruction des dossiers par les nouvelles équipes municipales" élues en mars. La dette financière nette remonte à 66,7 millions d'euros, en hausse de 16,7 millions d'euros par rapport au 30 novembre 2013.
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Bonsoir, quelque soit l'origine des non ventes, d'une chute des réalisations, la solution est une force commerciale digne de ce nom. Vendre plus ce n'est pas brader, c'est vendre. Il est temps d'arrêter de pleurer et de trouver toutes les raisons du monde, de l'univers, et expliquer le comment du pourquoi ... Je suis né vendeur, dans les grands groupes qui m'ont formé, j'ai changé de marché, et des vendeurs (pas des commerciaux) accompagnés par un coach lui même vendeur, savent développer une stratégie et dépasser leurs objectifs. Allez, soyez positifs, éliminez les budgets de com trop chers et peu rentables, faites confiance aux individus, à l'être humain. Rien ne vaut une force de vente sur le terrain. P. CER