L'ensemble de ces éoliennes "permet désormais d'alimenter en électricité un peu plus de 6 millions de foyers, soit plus que l'équivalent de la population de la région Ile-de-France", est-il précisé dans le communiqué.
"En franchissant le cap symbolique des 10.000 MW éoliens raccordés au réseau électrique, la France confirme son engagement en faveur d'une énergie en pleine croissance, compétitive, au service de l'investissement et de l'emploi et en mesure de lutter contre le dérèglement climatique", commentent Jean-Louis Bal et Jean-Baptiste Séjourné, président et vice-président du SER.
Ils jugent que "la levée des derniers freins techniques et réglementaires reste néanmoins une condition essentielle pour que se poursuive cette dynamique". Le Syndicat rappelle qu'en 2009, la France s'était fixé comme objectif intermédiaire "l'installation, à terre, de 10.500 MW au 31 décembre 2012 pour atteindre, à l'horizon 2020, 19.000 MW".
"Le calendrier prévu initialement a connu un décalage de trois années. Ce retard est dû à l'existence de freins de plusieurs natures, dont bon nombre ont été levés", souligne le SER.
Il salue le fait que "des mesures de simplification administrative et la sécurisation du tarif d'achat éolien ont permis un redéploiement marquant de la filière avec, depuis l'année dernière, une reprise du rythme annuel de croissance : en 2014, un peu plus de 1.000 MW ont été raccordés".
Le Syndicat des énergies renouvelables juge également que "la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte est venue renforcer l'effort de simplification du cadre juridique", mais "malgré tout, le rythme annuel reste insuffisant et bien loin des 4.000 MW raccordés chaque année Outre-Rhin" et "il reste quelques derniers freins à lever", résume-t-il.
Il propose par exemple de "dispenser les parcs éoliens des formalités liées à l'urbanisme", de définir "des procédures d'autorisation simplifiées pour le renouvellement des parcs existants par des éoliennes plus performantes" ou encore de mettre en place "un dispositif de rémunération du kWh sécurisé et adapté à la filière".
Le SER regroupe 370 industriels (et plus de 75.000 emplois) issus de l'ensemble des filières énergies renouvelables : biomasse, bois, biocarburants, biogaz, éolien, énergies marines, géothermie, hydroélectricité, pompes à chaleur, solaire photovoltaïque, solaire thermique et thermodynamique.
Rassurez vous doudard la CE enquête sur les énergies intermittentes et ses chiffres incontrôlables. Tout n'est que gabegie et gouffre de 6 Miliards pris dans nos poches. Les 75000 emplois n'ont jamais été confirmés, tout est dans l'ombre des bureaux opaques des beaux quartiers Parisiens, on a même retrouvé des parcs Italiens aux mains de la mafia en Calabre. En tout cas la soupe est bonne chez Batirama aux ordres du syndicat des énergies intermittentes.
Mensonge, mensonge et personne pour répondre en face, les chiffres sont faux, l'exemple allemand est significatif du danger et de l'inutilité de l'éolien en France!!! Pathétique journaliste faisant écrire ses articles par les lobbies (SER). A de nombreuses reprises il a été montré que leurs chiffres sont faux... il est noté pour 2014 que l'électricité éolien représente 3% de notre consommation (8700 msg en 2012), sur notre facture EDF, ce qui représente donc l'électricité pour 2.1 M de personnes et non pas 6... cherchez l'erreur!!!
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Oui, mensonge! Juste pour se mettre de l'argent dans les poches! La France devient très laide! Surtout dans le nord, désert, manque d'arbres, de haies et maintenant nous avons les éoliennes pour nous tenir compagnie ! Bravo, au moins il y en a qui savent préserver leur pays!