De janvier à mars, les ventes de logements neufs ont progressé de 10,4% sur un an, à 25 826 logements, selon la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Parmi elles, les ventes au détail de logements neufs ont bondi de 20% tandis que les ventes en bloc reculaient en revanche de 23% sur un an, et celles de logements en résidences services baissaient de 7,7%.
Déjà au dernier trimestre de l'an dernier, les ventes de logements neufs avaient progressé de 12,5%, faisant naître un espoir de reprise dès 2015, pour un marché sinistré ces dernières années. Cette reprise est pour l'instant portée par les investisseurs particuliers, auprès desquels les ventes ont bondi de 59,4% tandis que les ventes aux accédants à la propriété régressaient de 3,3%, en dépit de taux d'intérêt toujours très bas.
Les ventes aux investisseurs ont été relancées dès le mois de septembre, grâce aux assouplissements apportés au dispositif fiscal Pinel (ex-Duflot), rappelle la FPI. "Les besoins sont là, la confiance commence à revenir, le contexte macro-économique est plus favorable", souligne le président de la FPI François Payelle, mais le redémarrage des ventes aux investisseurs n'est "que le premier étage de la fusée".
Toutefois, "pour consolider ce début de reprise", il faut que s'y ajoutent "les deux autres étages", l'accession à la propriété, et un lancement de nouveaux projets "en nombre suffisant, permettant enfin de répondre à la demande". De leur côté, les mises en vente ont progressé de 6,5% au premier trimestre sur un an, pour concerner 20 969 logements, contre 19.683 à la même période un an plus tôt.
Elles demeurent toutefois bien inférieures à leur niveau des années 2011-2012 (environ 28 000), ce qui "témoigne du net ralentissement de la construction observé au cours de l'année 2014", dit la FPI. Les prix de vente des logements sont restés quasi stables (-0,6%) à 3 945 euros le m2 en moyenne en France, sur les trois premiers mois de l'année.
On constate des évolutions très disparates d'une agglomération à l'autre. Par exemple, les prix ont progressé de 7,6% à Montpellier et 7,1% à Rennes, tandis qu'ils baissaient de 14,5% à Caen et de 13,5% à Arcachon.
"Treompan", pas de doute que votre synthèse corresponde à la triste réalité, il n'y a que l'état, les financiers de l'immobilier (promoteurs), les assurances et les banques qui quoi qu'il en soit continuent à s'en f**tre plein les fouilles et les offices locatifs publics puisque que ce sont les contribuables et les épargnants qui financent les constructions, les impayés locatifs, les manquements aux divers règlements de l'eau, électricité, gaz, les collectes d'ordures ménagères et même les tickets pour les transports urbains etc... Mais mise à part cela c'est la reprise au frais des c*ns qui travaillent et qui paient...
Pouvons nous connaître la marque des cigarettes de la rédaction de batirama ? Parceque mettre des ronds dans un logement ou le locataire ne paiera rien, ni loyer ni poubelles ni chauffage, sous prétexte d'économiser trois balles d'impôts sur le revenu... Sans compter qu'il faut que le logement soit occupé par un locataire pendant 6 mois, qu'il mesure plus d'1,60 m ,qu'il soit présenté par le DAL, bref si vous aimez les enmmer**s allez y moi j'en viens. Sans compter le rattrapage deux ans plus tard et le redressement parceque le gars chaussait du 43 et la limite c'est 42. J'oublie aussi la commune, le pays, la communauté, le département, la région qui viennent quêter à votre porte, bref que du bonheur. PS: j'ai oublié le syndic, vous savez c'est comme l'ami Ricoré, il s'invite au petit déjeuner.
Il faut arrêter de faire croire du n'importe quoi sous prétexte que nos dirigeants le décident, car après c'est les gens qui sont dans la mouise....
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Bonjour, moi, c'est plutôt un renseignement que je cherche. A qui je m'adresse pour obtenir un appartement en location accession?