"Oui, ce projet est nécessaire pour des raisons économiques, pour le Grand Ouest. Il doit se poursuivre en respectant les procédures, en respectant le cadre défini par l'Union européenne, mais il doit avancer", a dit le Premier ministre, lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.
"Il y aura d'ailleurs un rendez-vous. Ca sera à l'automne parce que c'est là où toutes les mesures devront être prises pour donner une avancée décisive. Au delà, et nous le savons tous, ça ne serait pas possible. Avançons sur ce projet-là, c'est ça aussi respecter la parole" présidentielle, a poursuivi Manuel Valls.
Auparavant, le Premier ministre avait interpellé l'ancienne ministre du Logement, députée de Paris."Le projet, a-t-il lancé, est soutenu par l'ensemble des collectivités locales.
Il s'agit de qui, madame Duflot ? Du président du conseil départemental, du président du conseil régional, qui est sur la même position que son prédécesseur, de la maire de Nantes, de plusieurs parlementaires, de l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, dont vous étiez vous-mêmes membre du gouvernement".
"Ont-ils tort, madame Duflot ? Connaissent-ils moins bien que vous la réalité du terrain et les attentes de l'économie sur ce secteur ?", a appuyé encore Manuel Valls, sous des applaudissements.
Le juge de l'expropriation du tribunal de grande instance de Nantes a rendu une décision confirmant l'expulsion, réclamée par une filiale de Vinci, des derniers occupants "historiques" des terrains prévus pour accueillir le futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes, mais sans l'assortir d'astreinte financière.
Désolé Tréompan de vous avoir injustement suspecté de machisme. Heureusement sur ce dossier depuis aujourd'hui enfin, le ministère de l'écologie et des transports semble vouloir prendre ses responsabilités pour enfin étudier les solutions alternatives qui ne manquent pas et sont très rentables, les experts le savent bien. Ainsi nous éviterons sans doute le crime de sang, échappé de justesse en 2012. En ce qui concerne le crime économique, depuis près de 10 ans que le dossier est reparti de manière irraisonnée il est déjà consommé.
Un peu de retenue artisan, voyez la définition du mot criminel... Quant à propos machos, lorsque la difficulté apparaît la première défense est de parler de son sexe, de sa couleur de peau, de sa taille, de ses origines, de sa religion, etc, etc. Je ne suis pas d'accord, lorsque vous êtes un homme ou femme politique il faut accepter d'être juger sur ces actes et son travail, j'aurais fait le même commentaire si il s'était agit d'un homme, point barre.
Tréompan et Valls ont tellement peu d'arguments à exposer qu'il font diversion avec une verve bien macho. Dans certains milieus faire le malin évite de formuler un raisonnement. Cette grossière provocation ne cachera pas la corruption qui règne autour de tous ces politiques, qui sont prêts à bétonner notre pays dans l'espoir dérisoire de fabriquer un peu de croissance furtive au prix d'une grosse dette supplémentaire, histoire de bien plomber le futur. Ces criminels devront un jour rendre des comptes car ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient.
Quel culot Mme Duflot, surtout avec votre bilan de ministre, tout votre travail a été amendé tellement il était rétrograde, il ne reste rien de votre passage. Par contre vous aurez votre retraite de ministre, cela vous permettra de réviser vos cours de géographie pour mieux situer le Japon dans l'hémisphère Sud, quand je pense que vous possédez une licence dans cette matière, vos ex-profs doivent être fiers de leur travail. Bravo M Valls continuez, avec des amis comme cela pas besoin d'ennemis. La pire ministre de la cinquième, même pas f**tu d'aller au défilé du 14 juillet et se marre quand le para se blesse, le bâtiment se souviendra de son passage.
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Combien de temps devrons-nous supporter qu'un ministre (provisoire) qui nous a démontré plus d'une fois qu'il n'était expert de rien, va-t-il se substituer à des spécialistes qui devraient, sur base d'études objectives de trafic et non de prestige personnel très onéreux, définir les besoins réels d'une région, avec les acteurs et utilisateurs locaux, et non sous le diktat d'un matador d'opérette qui n'est ni utilisateur, ni concerné.