"Nous allons réclamer le droit à récupérer nos terres: c'est notre droit si, au bout de cinq ans, aucun travaux n'a été engagé", a déclaré Dominique Fresneau, co-président de l'ACIPA.
Deux courriers vont être envoyés lundi à l'Etat et AGO-Vinci, porteurs du projet d'aéroport. "Près d'une trentaine de dossiers ont été préparés et concerne une centaine de personnes", a précisé M. Fresneau. "Si nous n'obtenons pas de réponse sous un mois, on ira au tribunal de grande instance de Saint-Nazaire", a-t-il ajouté.
Ce recours vient s'ajouter à d'autres procédures engagées contre le projet d'aéroport, dont un devant le tribunal administratif de Nantes contre l'arrêté autorisant la destruction du campagnol amphibie (espèce protégée), et un autre devant le Conseil d'Etat contre les arrêtés "Loi sur l'Eau" et "Espèces Protégées".
Vieux de cinquante ans, le projet d'aéroport du Grand Ouest, soutenu par les collectivités locales et cher à l'ancien Premier ministre et ex-maire (PS) de Nantes Jean-Marc Ayrault, a été déclaré d'utilité publique en 2008. Son ouverture, à une vingtaine de kilomètres au nord de Nantes, était initialement prévue en 2017.
C'est bien avec 500000 fonctionnaires en moins les crapauds et tritons vont passer encore de belles années à NDDL bonne et belle année aux anti-aéroport, Jacques.
Vous connaissez le montant des sommes qu'ils ont touchées?
Patientez les gars dans moins de 100 jours tout va démarrer gardez vos sous au lieu de donner aux avocats, vous avez touché de belles sommes profitez en, en plus vos terrains ne valaient rien, bravo les hommes beau coup.
platine
Chaque année qui passe montre que ce projet est de plus en plus nuisible à l’Intérêt Général. Comme le dit si bien Tréompan, le seul attrait qui reste est pour les spéculateurs. Transformer de la terre agricole en constructions commerciales est toujours très lucratif pour les promoteurs et les constructeurs, même si c’est au détriment des finances publiques. Espérons que les électeurs ne choisiront pas ces menteurs qui sont prêt à vendre la France, tout en prétendant la sauver. Ne votez que pour ceux qui s’engagent à sauver le bocage et les zones humides. Boycottez les autres.