Aujourd’hui ce projet, pensé il y a déjà 2 ans et mobilisant pour sa conception depuis près d’un an une équipe de 20 ingénieurs, est techniquement prêt et viable.
Il a même été évoqué dans son principe aux représentants de la Mairie de Paris, à la S.E.T.E (Société d’Exploitation de la Tour Eiffel) et au Cabinet du Ministre de l’Environnement.
Un accord de principe avait bien été donné sous réserve, pour le Ministère, d’un résultat favorable concernant le bilan carbone et, pour la S.E.T.E, de la faisabilité quant à la validation technique.
« Ce projet confidentiel, qui a prématurément été divulgué à la presse, a pour but de marquer les esprits et de donner du rêve », confie Jean-Luc Schnoebelen, Fondateur et Directeur Général de Ginger.
A l’origine du projet, nous avons voulu créer une dynamique autour du Développement Durable pour faire avancer les choses et transformer en action ce qui n’est aujourd’hui qu’une philosophie. Ce projet d’ « Arbre de vie » a pour but de créer des vocations, susciter de nouvelles idées et donner des envies.
Ginger n’a pas pour ambition de s’approprier ce projet, mais bien au contraire, d’y faire participer tous ceux qui le souhaitent ».
Dans le cadre de sa politique d’innovation et à son initiative, le groupe a imaginé un projet capable de réconcilier l’Homme et la Nature dans la ville.
En effet, en 2030 il y aura 9 milliards d’humains sur Terre dont plus de 7 milliards vivront en ville. GINGER souhaite faire de Paris le symbole du 21ème siècle en matière de Développement Durable.
Jean-Luc Schnoebelen a suggéré la Tour Eiffel, symbole de l’industrie triomphante au 19ème siècle, pour la mise en œuvre de ce pari audacieux et ingénieux.
Pour la réalisation de ce projet, Ginger a du faire face à de fortes contraintes techniques: un bilan carbone négatif (absorption de gaz carbonique supérieure aux émissions), l’utilisation de produits naturels, les microclimats autour de la Tour Eiffel, le poids, l’irrigation des plantes…
Des études pointues ont ainsi été effectuées pour y répondre et des solutions innovantes ont pu être développées pour l’occasion.
« Ce n’est pas la technique qui fait les projets, mais les projets qui font évoluer la technique. Les ingénieurs n’ont-ils pas le devoir d’imaginer un nouveau futur en réintroduisant la nature au cœur de la ville ! » se demande Jean-Luc Schnoebelen.
Le financement de ce projet, aujourd’hui estimé à 80 millions d’euros, sera intégralement sponsorisé par des entreprises privées. « Au même titre que les Jeux Olympiques, ce projet emblématique participera au rayonnement international du pays ».
Source : batirama.com
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Projet ridicule ! Défigurer une œuvre symbole de la France, ils n'ont pas autre chose à faire ces 20 ingénieurs ? Que l'on végétalise les bâtiments contemporains, il y a de quoi faire !