Cette usine, qui fait appel à une technologie "à voie humide" (plus polluante et plus gourmande en énergie que les installations plus modernes "à voie sèche"), est située dans la région de Lviv, à l'ouest du pays.
Cette opération, qui est soumise à l'approbation des autorités compétentes ukrainiennes, devrait être finalisée d'ici la fin de l'année, espère Lafarge.
Le groupe français, qui a fait de son désendettement sa priorité numéro un, reste présent en Ukraine à travers trois carrières de granulats desservant tant le marché ukrainien que les marchés russe et polonais, selon son communiqué.
Fortement endetté (11,3 milliards d'euros à la fin 2012), Lafarge s'est fixé pour objectif de ramener sa dette sous la barre des 10 milliards "le plus rapidement possible en 2013".
Source : batirama.com