A travers l’analyse de différentes études nationales et internationales, ce dossier prouve que la performance énergétique et environnementale des biens immobiliers est de plus en plus prise en considération par le marché.
Pour le secteur résidentiel, une étude réalisée par l’association Dinamic (émanant du Conseil supérieur du notariat et de la chambre des notaires de Paris) en septembre 2013 indique que le prix de vente constaté d’une maison agrémentée de l’étiquette énergie A ou B peut être de 14 à 27% supérieur au prix de vente d’une maison équivalente comportant l’étiquette énergie D. Une étude de la Commission Européenne d’avril 2013 confirme, par ailleurs, l’existence d’une valeur verte dans plusieurs autres pays européens.
Pour le secteur tertiaire, les indicateurs IPD de l’immobilier vert, publiés en 2012, témoignent, par exemple, de la valeur ajoutée des bâtiments à forte performance environnementale. Plusieurs benchmarks internationaux, réalisés notamment par l’Ademe et le World Green Building Council vont également dans ce sens. D’autres études viennent compléter ce premier panorama et sont évoquées dans l’article.
En publiant ce dossier, le Plan Bâtiment Durable souhaite faire partager le fait que la valeur verte joue son rôle dans la transformation du marché immobilier vers plus de performance énergétique et environnementale.
Ce dossier, ainsi que l’ensemble des études, sont téléchargeables sur le site du Plan Bâtiment auquel vous pouvez accéder en cliquant ici