Les carreleurs n’auront jamais eu autant de bonnes raisons de travailler sans gants ! Sur l’emballage du nouveau mortier colle déformable de Weber, exit les pictogrammes de sécurité. L’industriel affiche clairement la couleur en indiquant sur le sac que le produit est non irritant.
« Les carreleurs ont toujours eu du mal à travailler sans gants bien que les colles poudres soient irritantes, reconnaît Régis Mabilon, chef du pôle carrelage chez Weber. Alors nous avons travaillé dur pour élaborer un produit qui ne le soit pas. »
Après les mortiers colles allégés, les sans poussières ou encore ceux à double consistance, voici donc le weber.col flex éco : non irritant ! Cinq années de travail ont été nécessaires aux équipes de Weber pour mettre au point cette nouvelle formule brevetée.
L’industriel a également anticipé la future réglementation européenne CLP qui entrera en vigueur en juin 2015 et qui durcira les exigences en la matière. « Le nouveau col Flex sera non irritant durablement, assure Joackim Correira, directeur marketing de Weber. Nous n’avons pas planché sur une innovation de niche. Nous avons conçu une gamme polyvalente qui touche le plus grand nombre d’utilisateurs. »
Chantiers courants mais aussi, pose de grands formats, mise en oeuvre en murs extérieurs, planchers chauffants, carreaux types lames de parquet, ce nouveau produit se positionne sur les mêmes domaines d’application que le Weber.col souple qu’il remplacera à terme. Pour un prix identique.
Avant d’être lancé sur le marché, le nouveau col flex éco a été testé dans 40 entreprises lesquelles ont apprécié sa grande facilité d’application liée à sa consistance crémeuse mais aussi le fait qu’il ne change rien à leurs habitudes de travail.
En matière d’émission de composé organique volatile (COV), le Weber.col flex éco bénéficie de l’étiquetage A+ le plus élevé selon le marquage sanitaire français mais loin d’être le plus exigeant. Pour se démarquer, Weber s’est engagé volontairement dans le protocole EMICODE et a obtenu le classement EC 1 PLUS.
« Ce classement est de plus en plus demandé notamment pour les chantiers HQE, confie Régis Mabilon. Pour l’obtenir, il nécessite des mesures de COV 3 jours après la mise en œuvre du produit alors que celles effectuées pour obtenir l’étiquette A+ sont réalisées à 28 jours. Les exigences de seuils à respecter sont les mêmes mais il est bien plus difficile de les respecter à 3 jours qu’à 4 semaines ! ».