Où s'arrêtera la baisse des taux immobiliers ?
Les taux d'intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers par les banques en France ont accéléré leur baisse au mois de septembre, à 2,59% en moyenne.
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Les taux des prêts du secteur concurrentiel se sont établis en moyenne à 2,69% pour l'accession dans le neuf et à 2,57% pour une acquisition dans l'ancien, détaille l'observatoire Crédit Logement/CSA.
"Depuis le début de l'année 2014, les taux ont perdu 49 points de base : à elle seule, cette baisse aura fait plus pour soutenir la conjoncture et redynamiser les marchés privés que tous les dispositifs publics actuels d'incitation et d'aide", estime-t-il.
Cette baisse "s'est d'ailleurs accélérée en septembre, sur un marché qui comme chaque année se redynamise après sa pause estivale", observe l'observatoire. Elle est d'une ampleur comparable sur le marché de l'ancien (2,56% en septembre, contre 3,08% en décembre 2013) et sur le marché des travaux (2,63% contre 3,12% aux mêmes dates).
Davantage d'apport personnel
En revanche, la baisse a été légèrement moindre, le mois dernier, sur le marché du neuf (à 2,65% contre 3,08% en décembre). La part des prêts à taux variable a continué à diminuer, à 2,6% en septembre, contre 6,4% en 2013, car la baisse continue des taux fixes depuis janvier, diminue nettement leur intérêt pour les emprunteurs.
La durée des prêts s'est établie à 208 mois, en moyenne, contre 209 mois en août. Dans le même temps, le niveau de l'apport personnel "progresse doucement" à fin septembre, avec +0,3% sur un an, en année glissante, après -5,5% en 2013, "dans un contexte de faiblesse de la primo accession et de renforcement des difficultés d'accès à la propriété des ménages modestes", souligne l'observatoire.
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Bonjour La problématique n'est pas la baisse des taux, ce qui serait une bonne nouvelle pour tous mais la durée ralongée pour avoir une surface digne sans oublier que les banques ne prêtent plus aussi facilement, nombre de projets restent sans suite. la Crise affecte aussi les engagements des gens. Les banques gagnent plus et sans risques sur les marchés boursiers qu'en prêtant aux particuliers et aux entreprises qui eux relanceraient l'économie. Les taux bas prouvent bien la situation, à l'époque des taux élevés le bâtiment fonctionnait bien... une époque terminée bien que la demande reste élevée du côté des consommateurs... Nous entrons dans le logement low-cost désormais, regardez ce que proposent les créatifs pour les primo accédants à la propriété, ce sont des kits à terminer soi même en prévision de la RT2020 qui limitera encore l'approche pour tous... Si rien ne se passe avant 2020, c'est une autre histoire.