La pétition, lancée en août, a recueilli à ce jour "1.628 signatures", a indiqué aux journalistes Guy Lamisse, un porte-parole du "collectif des riverains de la Zad de Notre-Dame-des-Landes", à l'issue de l'entretien avec le préfet de Loire-Atlantique.
Le collectif, qui a exprimé son "ras-le-bol", a demandé au préfet "le retour à la paix publique. Les forces de l'ordre n'interviennent plus du tout. On veut un respect du droit et des lois, même si la zone n'est pas évacuée tout de suite", a déclaré M. Lamisse.
Selon lui, le préfet a pris acte de leurs demandes mais n'a pas pris d'engagement. "On sent que ce n'est pas au niveau de la préfecture que ça se décide, que c'est beaucoup plus haut", a estimé M. Lamisse.
La "Zad" est habitée, dans des cabanes ou de vieux bâtiments de ferme, par 100 à 300 personnes l'occupant illégalement, ainsi que par une trentaine d'habitants "historiques", anciens locataires ou exploitants agricoles, qui attendent le 25 janvier la décision du TGI de Nantes sur leur demande d'expulsion par le concessionnaire du projet d'aéroport AGO (Aéroport du Grand Ouest), filiale de Vinci.
La peste brune annonce de sinistres nuits de cristal. La haine vitrifie la vie, comme la corruption coule du béton sur nos terres fertiles. Pauvres prêcheurs, ils n'ont rien compris...
Ce pauvre gosse n'avait pas à se trouver la à porter d'un "lance patate" donc très près de la police. On ne récolte que ce que l'on sème.
Rassurez vous demain le retour des nô borders de Calais vont se présenter à Nantes, enfin du sport, attention rappelez vous Sivens et son pauvre gosse mort. 1650 signatures autant que les opposants avec l'aide du FN.
platine
@antizadiste, attention à vos propos,rien ne justifie la mort du gosse, surtout pour une mare d'eau grande comme le lac du bois de Boulogne. Un môme ça a le cerveau tendre et les parents ont leurs responsabilités, tout comme les gardes mobiles qui utilisent encore des grenades offensives. Oui à la démocratie et respects des décisions des représentants du peuple. Attention aussi à la récup du FN que l'on retrouve dans les opposants.