Cet appel à projets concerne "le solaire photovoltaïque, le solaire thermique, l'éolien et le froid renouvelable", indiquent les ministères de l'Ecologie et de l'Energie, du Redressement Productif et celui de la Recherche dans un communiqué commun.
Il concerne aussi "l'hybridation des solutions renouvelables à la fois entre elles, avec les sources d'énergies traditionnelles, mais également avec les moyens de stockage", précisent les ministères, l'enjeu étant dans ces cas "de pallier le caractère variable de certaines sources de production renouvelables".
Cet AMI, dont l'enveloppe globale n'a pas été précisée, est financée par le programme "Démonstrateurs et plateformes technologiques en énergies renouvelables et décarbonées et chimie verte" des investissements d'avenir, doté de 1,25 milliard d'euros et opéré par l'Ademe.
L'AMI est ouvert jusqu'au 2 octobre 2015 (sur une durée de 20 mois avec trois relevés espacés d'environ 6 mois: début septembre 2014, début mars 2015 et début octobre 2015).
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Sans préjuger de ce que les "modérateurs" vont innover, il serait peut-être temps de réaliser qu'en associant le gaz et l'électricité dans les chaufferies collectives des immeubles de nos villes dans ce que l'on pourrait appeler une "chaufferie hybride" associant la combustion et le chauffage thermodynamique on peut diviser par 2,5 la quantité d'énergie primaire pour un même besoin thermique. Ceci en utilisant pour des raisons pratiques l'eau de nos rivières ou celle de leur nappes libres préférentiellement à l'air.